Solitude de quarantaine et guerre d’apitoiement
En ces temps de grandes solitudes
Mon âme s’assoiffe de sollicitudes
Mais comment tarir la soif de compagnie
Quand le peu de paroles m’épuise à l’infini.
Dans la déprime de l’immense isolement
Se tapie les louanges du social engagement
Car ne serai-ce que pour en sauvé quelques uns
Que cette décision fût prise pour notre bien commun
Qu’à cela ne tienne, le bon sens est parfois un de ces maux
Car certains incapables de s’y conformer
Décident au nom de nos droits fondamentaux
De boycotter en commençant par nous désinformer
Guerre des mots, des pensées et préjugés
S’ensuit une lutte pour comprendre et gérer la crise
Mais encore faudrait-il qu’on nous autorise
À les bâillonner sans crier « aux méjugés ! »
Explications, débats et mises à l’épreuve
Voilà la seule fortune pour pallier à la fausse preuve
Qui se ravivera par d’obstinés convictions
Et par l’abstraction des contradictions
Malgré notre bon vouloir et notre bon instinct
Contre toute attente car tel est notre destin
Laissons le temps suivre son cours
Et dans l’oublie sombrer pour quelques jours
Le noir
Le noir dans le mondeLe noir dans la mort
Le noir dans ma vie
Le noir dans ma tête
Sombres pensées
Dans ma tête bousculée
Sombre période
Dans la vie peu commode
Noirceur de l'automne
Nuit de ténèbres
Couleurs monotones
Le noir m'est célèbre
Tristesse noire
Sombre miroir
Teint de cendre
Froideur tendre
Terreur de feu
Sourire malheureux
Ciel boueux
Vêtements désastreux
Lumière noire
La mort dans le tiroir
Être éventré
Existence sinistrée
Le noir dans la tête
Le noir dans la vie
Le noir dans ma mort
Le noir dans mon monde
Le noir dans ma vie
Le noir dans ma tête
Sombres pensées
Dans ma tête bousculée
Sombre période
Dans la vie peu commode
Noirceur de l'automne
Nuit de ténèbres
Couleurs monotones
Le noir m'est célèbre
Tristesse noire
Sombre miroir
Teint de cendre
Froideur tendre
Terreur de feu
Sourire malheureux
Ciel boueux
Vêtements désastreux
Lumière noire
La mort dans le tiroir
Être éventré
Existence sinistrée
Le noir dans la tête
Le noir dans la vie
Le noir dans ma mort
Le noir dans mon monde
Les femmes du temps
Une femme dans le passé.
Aucune dans le présent.
Et une dans le futur.
Elles existent toutes.
Elles sont toutes dans ma tête
En fait trois femmes.
Une qui existait, une imaginaire.
Une autre tout aussi réel que imaginaire.
Elles existent toutes.
Elles sont toutes dans ma tête.
La passée, pleine de regret.
La présente, uniquement de l'espoir.
La future, uniquement imaginaire.
Elles existent toutes.
Elles sont toutes dans ma tête.
Celle du passé, est éteinte
Celle du présent est présente et effacée à la fois.
Celle du futur existe mais je ne sais où.
Elles existent toutes.
Elles sont toutes dans ma tête
Hier j'aimais la passée
Aujourd'hui, j'aime la présente
Demain j'aimerai la future
Elles existent toutes.
Elles sont toutes dans ma tête
Aujourd'hui, je hais antérieure
Demain, je haïrai celle du maintenant
Un jour, j'aimerai celle du destin.
Elles existent toutes.
Elles sont toutes dans ma tête
Aucune dans le présent.
Et une dans le futur.
Elles existent toutes.
Elles sont toutes dans ma tête
En fait trois femmes.
Une qui existait, une imaginaire.
Une autre tout aussi réel que imaginaire.
Elles existent toutes.
Elles sont toutes dans ma tête.
La passée, pleine de regret.
La présente, uniquement de l'espoir.
La future, uniquement imaginaire.
Elles existent toutes.
Elles sont toutes dans ma tête.
Celle du passé, est éteinte
Celle du présent est présente et effacée à la fois.
Celle du futur existe mais je ne sais où.
Elles existent toutes.
Elles sont toutes dans ma tête
Hier j'aimais la passée
Aujourd'hui, j'aime la présente
Demain j'aimerai la future
Elles existent toutes.
Elles sont toutes dans ma tête
Aujourd'hui, je hais antérieure
Demain, je haïrai celle du maintenant
Un jour, j'aimerai celle du destin.
Elles existent toutes.
Elles sont toutes dans ma tête
Jungle urbaine
Dans le zoo de la villeLes animaux humains défilent
Dans la jungle urbaine
Les spécimens se promènent
Tel des fourmis organisées
Les créatures se déchaînent
À accomplir leurs règnes
Sur cette terre délissée
Parmi ces création d'un Dieu médiocre
Ils ressemblent plus à de monstrueux
Et déplorables orques
Qui ne seront jamais heureux
Déplorable ère nouvelle
Ils chassent en rut
Dans ces sombres rues
Leurs malheureuses belles
Quand Dieu décidera leur fin
De ce temps barbare
Pour qu'il ait paix sur terre
Pour que justice soit fait enfin
Amour infernal
Mon cœur est souffranceEt ma tête en démence
L'amour en attente
Je déboule la pente
En bas d'infâmes démons
Me donnent leurs sermons
C'est d'un amour démesuré
Que mon corps devient purée
Comment arrêter ses flots
Se disent les anges noirs
Remontons-le en haut
Il empeste l'espoir
Par la poussé du feu infernal
J'atteins le sommet paradisiaque
De cet infini endroit final
Je l'observai d'un œil maniaque
Incapable de voir mon malheur
Le Dieu céleste fit pris d'une peur
La vie sur la terre je du souffrir
Avec ma douce qui ne cesse de fuir
Les disciples
Dans une cité étrange
J’ai rencontré
De curieux personnages
Aux allures colorés
Tous semblaient adorer
Leur ciel autant bigarré
Que leurs jolis
Et extravagants habits
Ils le vénéraient
De façon abstraite
Et leurs têtes
Ils les perdaient
Leurs esprits s’égaraient
Et leurs âmes se perdaient
J’ai donc continué mon chemin
Pour ne pas précipiter ma fin
Une chose est sûre pour moi
Leur vénération
Les entraîneraÀ leur extinction
J’ai rencontré
De curieux personnages
Aux allures colorés
Tous semblaient adorer
Leur ciel autant bigarré
Que leurs jolis
Et extravagants habits
Ils le vénéraient
De façon abstraite
Et leurs têtes
Ils les perdaient
Leurs esprits s’égaraient
Et leurs âmes se perdaient
J’ai donc continué mon chemin
Pour ne pas précipiter ma fin
Une chose est sûre pour moi
Leur vénération
Les entraîneraÀ leur extinction
Le temps gelé
J’étais sur une planète
Où on ne faisait pas la fête
J’étais dans un monde
Où il n’y avait point de seconde
Tout me paraissait
Des plus insensés
Tout me semblait
Totalement chambardé
Le temps n’était plus
Il s’était perdu
Dans un endroit
Sûrement très froid
Il s’était arrêté
Pour nous contempler
Il s’était gelé
Pour tout cesser
Enfin nous aurons
La chance de l’approcher
D’être dans ses environs
Pour alors l’apprivoiser
Où on ne faisait pas la fête
J’étais dans un monde
Où il n’y avait point de seconde
Tout me paraissait
Des plus insensés
Tout me semblait
Totalement chambardé
Le temps n’était plus
Il s’était perdu
Dans un endroit
Sûrement très froid
Il s’était arrêté
Pour nous contempler
Il s’était gelé
Pour tout cesser
Enfin nous aurons
La chance de l’approcher
D’être dans ses environs
Pour alors l’apprivoiser
Le prisonnier de la Lune
Je regardais la lune dans le ciel
Me disant quelle merveille
Mais comment pouvait-elle
Me mettre dans un état pareil
Je ne comprenais pas
Comment je pouvais
En faire tout un cas
Elle m’ensorcelait
Elle m’immobilisait
Cet être illuminé
Emprisonnait
Toutes mes pensées
J’étais mort d’effroi
De ne pouvoir bouger
Dans cet air glacé J’en suis mort de froid.
Me disant quelle merveille
Mais comment pouvait-elle
Me mettre dans un état pareil
Je ne comprenais pas
Comment je pouvais
En faire tout un cas
Elle m’ensorcelait
Elle m’immobilisait
Cet être illuminé
Emprisonnait
Toutes mes pensées
J’étais mort d’effroi
De ne pouvoir bouger
Dans cet air glacé J’en suis mort de froid.
Le clochard
Dans la rue enneigé
J’ai rencontré
Un clochard
D’un type peu rare
Celui-ci parlait
Un langage de son monde
D’ailleurs encore plus laid
Que son propre monde
Le peu que j’ai compris
De son long récit
C’est qu’il était dépendant
D’intenses sentiments
J’ai tenté de l’aider
En le mêlant à mes aventures
Mais ce qu’il aurait aimé
C’est avoir mes écritures
Bien entendu
J’ai refusé
Il m’a alors mordu
Et je l’ai abandonné
C’était bien mieux ainsi
Puisque moi aussi
J’étais dépendant
J’ai rencontré
Un clochard
D’un type peu rare
Celui-ci parlait
Un langage de son monde
D’ailleurs encore plus laid
Que son propre monde
Le peu que j’ai compris
De son long récit
C’est qu’il était dépendant
D’intenses sentiments
J’ai tenté de l’aider
En le mêlant à mes aventures
Mais ce qu’il aurait aimé
C’est avoir mes écritures
Bien entendu
J’ai refusé
Il m’a alors mordu
Et je l’ai abandonné
C’était bien mieux ainsi
Puisque moi aussi
J’étais dépendant
De ce médicament
La maladie du désespoir
Un inconnu
Se promenait dans la rue
L’air peiné
En route pour se suicider
Lorsqu’un con
L’a presque fait basculer du pont
Et l’inconnu l’injuria
De vouloir le jeter en bas
L’air de rien
Il rebroussa chemin
Entra chez lui, heureux
Et alla se réchauffer près du feu
Quant au con
Qui se baladait sur le pont
Il ne fera plus jamais le sot
Puisqu’il a fait le saut
Ainsi se termine cette histoire
Mais ne craignez rien
Car la maladie du désespoir
A maintenant comblé sa faim
Se promenait dans la rue
L’air peiné
En route pour se suicider
Lorsqu’un con
L’a presque fait basculer du pont
Et l’inconnu l’injuria
De vouloir le jeter en bas
L’air de rien
Il rebroussa chemin
Entra chez lui, heureux
Et alla se réchauffer près du feu
Quant au con
Qui se baladait sur le pont
Il ne fera plus jamais le sot
Puisqu’il a fait le saut
Ainsi se termine cette histoire
Mais ne craignez rien
Car la maladie du désespoir
A maintenant comblé sa faim
Le soleil de nuit
Sous la nuit il pleuvait
Mais sous ces larmes il ensoleillait
Trop de cacophonie
Sous ce toit de pluie
Le ciel s’étant révolté
Je dus l’abandonné
Je me suis retourné
Vers cet arbre dépravé
Vers ce squelette de bois
Qui exprimait le désarroi
Et l’intense froid
Au plus profond de moi
C’est alors que ce soleil d’ombre
Qui planait en travers la pluie
M’est apparue aussi sombre
Que cette éblouissante nuit
Où régnait un calme menaçant
Venant d’un étrange vent
C’était pourtant un courant d’espoir
Dont le sens j’ai mal interprété
Cette idées du bonheur qu’il puisse exister
Je ne pouvait y croire avant de voir
Aveuglé par un profond désespoir
Mais sous ces larmes il ensoleillait
Trop de cacophonie
Sous ce toit de pluie
Le ciel s’étant révolté
Je dus l’abandonné
Je me suis retourné
Vers cet arbre dépravé
Vers ce squelette de bois
Qui exprimait le désarroi
Et l’intense froid
Au plus profond de moi
C’est alors que ce soleil d’ombre
Qui planait en travers la pluie
M’est apparue aussi sombre
Que cette éblouissante nuit
Où régnait un calme menaçant
Venant d’un étrange vent
C’était pourtant un courant d’espoir
Dont le sens j’ai mal interprété
Cette idées du bonheur qu’il puisse exister
Je ne pouvait y croire avant de voir
Aveuglé par un profond désespoir
Je me suis réveillé trop tard
La ville des merveilles
Dans cette ville venue d'ailleurs
J'explorais ce lieu des rois
Ne comptant plus mes pas
Je parcourais ces rues de feux
Petites flammes
Qui illuminent nos âmes
Pour nous diriger
Vers l'unité
Unité individuel
Ville de merveille
Ville de lumière
Qui nous éclaire
Grandiose que tu es sur cette île
Remplie de gens futiles
Se faufilant comme des fourmis
J'explorais ce lieu des rois
Ne comptant plus mes pas
Je parcourais ces rues de feux
Petites flammes
Qui illuminent nos âmes
Pour nous diriger
Vers l'unité
Unité individuel
Ville de merveille
Ville de lumière
Qui nous éclaire
Grandiose que tu es sur cette île
Remplie de gens futiles
Se faufilant comme des fourmis
Dans tes rues à l'infini
Dragon solitaire
Survolait un dragon dans les airs
Heureux et serein il avait l’air
Mais triste était son cœur
Dans sa vie pleine de malheur
Dernier de sa mystérieuse race
C’était trop facile pour les connaisseurs
Trop aisé pour les chasseurs
De suivre ses évidentes traces
Dans une grotte il du se cacher
Trop longtemps il fut effrayé
D’y sortir il avait trop peur
Il cauchemardait des pourchasseurs
Dragon solitaire mourus
Sa race eue disparue
Mais tous se rappelèrent
Heureux et serein il avait l’air
Mais triste était son cœur
Dans sa vie pleine de malheur
Dernier de sa mystérieuse race
C’était trop facile pour les connaisseurs
Trop aisé pour les chasseurs
De suivre ses évidentes traces
Dans une grotte il du se cacher
Trop longtemps il fut effrayé
D’y sortir il avait trop peur
Il cauchemardait des pourchasseurs
Dragon solitaire mourus
Sa race eue disparue
Mais tous se rappelèrent
Ses origines pleines de mystère
La maladie de vivre
Le respire me couple le souffle
Juste d’y penser je m’essouffle
Réfléchir me cause des nausées
Comment pourrais-je subsister
Sans perdre ma fragile lucidité
Vivre ne fait que me perturber
Normalement j’aimerai vivre
Mais les mots me rendent ivre
Et les images folles m’enivre
Je ne suis qu’un fou
Un marabout
Qui vit de tabou
Ma vie n’est pas facile
Je suis trop fragile
Laissez-moi tranquille
Je ne veux plus vous voir
Tout ce que je veux c’est boire
J’ ai de sombres espoir
Normalement j’aimerai vivre
Mais les mots me rendent ivre
Et les images folles m’enivre
Je ne suis qu’un fou
Un marabout
Qui vit de tabou
Finalement ma vie n’est pas si pire
Mon respire je retrouve enfin
Ma mort n’est pas pour demain
Le bonheur je conspire
Juste d’y penser je m’essouffle
Réfléchir me cause des nausées
Comment pourrais-je subsister
Sans perdre ma fragile lucidité
Vivre ne fait que me perturber
Normalement j’aimerai vivre
Mais les mots me rendent ivre
Et les images folles m’enivre
Je ne suis qu’un fou
Un marabout
Qui vit de tabou
Ma vie n’est pas facile
Je suis trop fragile
Laissez-moi tranquille
Je ne veux plus vous voir
Tout ce que je veux c’est boire
J’ ai de sombres espoir
Normalement j’aimerai vivre
Mais les mots me rendent ivre
Et les images folles m’enivre
Je ne suis qu’un fou
Un marabout
Qui vit de tabou
Finalement ma vie n’est pas si pire
Mon respire je retrouve enfin
Ma mort n’est pas pour demain
Le bonheur je conspire
Fini de fuir en vain
Le couloir de la folie
Idées de folie chevauche mon esprit
La nuit dans le noir je prie
Pour un rêve incompris
Pour un bonheur infini
Dans cette prison d’ennuie
Mon malheur resurgit
Dans ce couloir gris
Inquiétude m’envahit
Heureusement j’ai l’espoir
Mais les gens refusent d’y croire
Pour eux je ne suis qu’un détraqué
Ils ne cesse de me traquer
Quand cela finira-t-il
Quand serais-je enfin tranquille
Pourquoi je ne suis que folie
La nuit dans le noir je prie
Pour un rêve incompris
Pour un bonheur infini
Dans cette prison d’ennuie
Mon malheur resurgit
Dans ce couloir gris
Inquiétude m’envahit
Heureusement j’ai l’espoir
Mais les gens refusent d’y croire
Pour eux je ne suis qu’un détraqué
Ils ne cesse de me traquer
Quand cela finira-t-il
Quand serais-je enfin tranquille
Pourquoi je ne suis que folie
Pourquoi je tente de fuir la vie
Le destin de mes rêves
Par ce jour de pluie
Je sombre dans l'ennuie
Tourment je ne peux fuir
Malheur ne peut finir
À mes rêves je songe
Plaisir m'emporte alors
Car un jour je vivrais d'or
Ce sera fini les mensonges
Fini l'hypocrisie du bonheur
Fini mes sombres malheurs
Enfin libre sera ma vie
Et mon destin accompli
Je pourrais dormir en paix
Faire ce qu'il me plaît
Et pour l'éternité
Je sombre dans l'ennuie
Tourment je ne peux fuir
Malheur ne peut finir
À mes rêves je songe
Plaisir m'emporte alors
Car un jour je vivrais d'or
Ce sera fini les mensonges
Fini l'hypocrisie du bonheur
Fini mes sombres malheurs
Enfin libre sera ma vie
Et mon destin accompli
Je pourrais dormir en paix
Faire ce qu'il me plaît
Et pour l'éternité
J'aurais la tranquillité
L’énigmatique folie
Mon cœur est si triste
Mon âme est abattu
Peu d’espoir subsiste
Mais je ne suis pas vaincu
Je tente de fuir en me faufilant
Entre ces morceaux de folie
Entre ces moments délirants
Ma vie n’est que mélancolie
À mes oreilles chantonne
Une musique monotone
Que je voudrais taire
Car pour moi c’est l’enfer
L’ennuie comble mes jours
Pourtant trop de travail
Que j’ai toujours
Je cherche la faille
Quand comprendrais-je
Ces métaphores complexes
Qui me laissent perplexe
Mon âme est abattu
Peu d’espoir subsiste
Mais je ne suis pas vaincu
Je tente de fuir en me faufilant
Entre ces morceaux de folie
Entre ces moments délirants
Ma vie n’est que mélancolie
À mes oreilles chantonne
Une musique monotone
Que je voudrais taire
Car pour moi c’est l’enfer
L’ennuie comble mes jours
Pourtant trop de travail
Que j’ai toujours
Je cherche la faille
Quand comprendrais-je
Ces métaphores complexes
Qui me laissent perplexe
Et me perturbent les méninges
L'inévitable départ
Depuis quelques temps
Je n'aimais plus ma vie autant
Trop d'intenses stress
Contrôlaient mon existence
Un père sur protecteur
Me créait plus de malheur
Que je puisse en supporter
Que je puisse en absorber
Interminable fut l'attente du départ
Le goût de courir comme un guépard
Grandit plus rapidement chaque jour
Je crus y rester pour toujours
Mais l'immense vase déborda
Loin la vague m'emmena
Et un plus beau bateau j'aborda
Je n'aimais plus ma vie autant
Trop d'intenses stress
Contrôlaient mon existence
Un père sur protecteur
Me créait plus de malheur
Que je puisse en supporter
Que je puisse en absorber
Interminable fut l'attente du départ
Le goût de courir comme un guépard
Grandit plus rapidement chaque jour
Je crus y rester pour toujours
Mais l'immense vase déborda
Loin la vague m'emmena
Et un plus beau bateau j'aborda
Demain un bel avenir s'annonce à moi
Roi et reine
Tu es ma vision
De la perfection
Tu es mon obsession
Tu es mon ange
Et la principale raison
De mon énorme rage
Mon amour pour toi
Me ronge les os
Tes somptueuses bosses
Me fait rêver en roi
Et toi ma belle reine
Me met en peine
Pour ma conscience
L’amour est souffrance
Autant de haine
Émanent de toi reine
Et moi pauvre roi
D’amour je souffre pour toi
J’aimerais parfois
Être souverain pantois
Devant ta beauté cruelle
Et ne jamais te connaître
Pour être le seul maître
De la perfection
Tu es mon obsession
Tu es mon ange
Et la principale raison
De mon énorme rage
Mon amour pour toi
Me ronge les os
Tes somptueuses bosses
Me fait rêver en roi
Et toi ma belle reine
Me met en peine
Pour ma conscience
L’amour est souffrance
Autant de haine
Émanent de toi reine
Et moi pauvre roi
D’amour je souffre pour toi
J’aimerais parfois
Être souverain pantois
Devant ta beauté cruelle
Et ne jamais te connaître
Pour être le seul maître
De ma vie éternelle
Pourquoi l'amour ?
Pourquoi l’amour m’effraie
Pourquoi l’amour me rend épais
Pourquoi l’amour me rend fou
Pourquoi l’amour c’est flou
Pourquoi l’amour fait mal
Pourquoi l’amour ne peut être banal
Pourquoi l’amour obsède
Pourquoi l’amour me possède
Pourquoi l’amour me donne des ulcères
Pourquoi l’amour me met en colère
Pourquoi l’amour me met en pleurs
Pourquoi l’amour m’écoeure
Pourquoi l’amour se joue de nous
Pourquoi l’amour je m’en fous
Pourquoi l’amour me fait vomir
Pourquoi l’amour me rend épais
Pourquoi l’amour me rend fou
Pourquoi l’amour c’est flou
Pourquoi l’amour fait mal
Pourquoi l’amour ne peut être banal
Pourquoi l’amour obsède
Pourquoi l’amour me possède
Pourquoi l’amour me donne des ulcères
Pourquoi l’amour me met en colère
Pourquoi l’amour me met en pleurs
Pourquoi l’amour m’écoeure
Pourquoi l’amour se joue de nous
Pourquoi l’amour je m’en fous
Pourquoi l’amour me fait vomir
Pourquoi l’amour ne peut finir
Malaise conjugale
Une Julie et un Marco
tout les jours se disputaient
De pute il la traitait
Et naturellement elle de salau
Tout deux eurent essayé
Que l'autre trépasse
Afin de solutionner
Leurs exorbitantes impasses
Tant de moyens ils prirent
Sans jamais fonctionner
Jusqu'au jour où le pire
Leurs aient arrivé
Mutuellement ils s'empoisonnèrent
Tous les deux moururent
Leur paradis fût intolérable
Car pour l'éternité ils furent ensemble
tout les jours se disputaient
De pute il la traitait
Et naturellement elle de salau
Tout deux eurent essayé
Que l'autre trépasse
Afin de solutionner
Leurs exorbitantes impasses
Tant de moyens ils prirent
Sans jamais fonctionner
Jusqu'au jour où le pire
Leurs aient arrivé
Mutuellement ils s'empoisonnèrent
Tous les deux moururent
Leur paradis fût intolérable
Car pour l'éternité ils furent ensemble
Ma belle nocturne
Tu es ma belle nocturne
Ma fabuleuse déesse de la nuit
Laisse-moi t’aimer sans bruit
Et envahir ton monde nocturne
Nous regarderons le ciel
Sous ses étoiles merveilles
Sous la blanche lumière
La clarté lunaire
Le jour nous fuirons
Car trop de pollution
Émane de ces solaire rayons
Par nous tuer ils finiront
Sombre sera notre amour
Dans le noir nous serons toujours
Seule notre passion amouraché
Ma fabuleuse déesse de la nuit
Laisse-moi t’aimer sans bruit
Et envahir ton monde nocturne
Nous regarderons le ciel
Sous ses étoiles merveilles
Sous la blanche lumière
La clarté lunaire
Le jour nous fuirons
Car trop de pollution
Émane de ces solaire rayons
Par nous tuer ils finiront
Sombre sera notre amour
Dans le noir nous serons toujours
Seule notre passion amouraché
Pourra désormais nous éclairer
Le bonheur du destin
Le soleil dansait
Sous mes yeux
Et parmi ce monde joyeux
Je me sentais
Des plus heureux
La vie me souriait
Elle me donnait
L’amour
Son plus beau
Cadeau
De toute ma vie
Je n’ai été aussi
Comblé de bonheur
Et d’amitié
Mais j’avais peur
Je doutais
Que l’ampleur
De mes malheurs
Reviendrait
Mais je gardais mon humeur
C’est en voyant les étoiles
Se réveiller
Que j’ai réalisé
Ce qu’était ma destiné
Sous mes yeux
Et parmi ce monde joyeux
Je me sentais
Des plus heureux
La vie me souriait
Elle me donnait
L’amour
Son plus beau
Cadeau
De toute ma vie
Je n’ai été aussi
Comblé de bonheur
Et d’amitié
Mais j’avais peur
Je doutais
Que l’ampleur
De mes malheurs
Reviendrait
Mais je gardais mon humeur
C’est en voyant les étoiles
Se réveiller
Que j’ai réalisé
Ce qu’était ma destiné
Devenir ma propre étoile
L'amour un jour
Depuis toujours
Je recherche l’amour
Le trouverais-je un jour
Sans qu’on me joue de tour
Sera-t-elle blonde
Ou plutôt ronde
Sera-t-elle belle
Ou bien rebelle
Me fera-t-elle mal
Ou sera-t-elle banale
Au point d’en mourir d’ennuie
Ou à ne plus dormir la nuit
Peut- importe
Je lui ouvrirais la porte
Même si je dois souffrir
Ou même mourir
Je recherche l’amour
Le trouverais-je un jour
Sans qu’on me joue de tour
Sera-t-elle blonde
Ou plutôt ronde
Sera-t-elle belle
Ou bien rebelle
Me fera-t-elle mal
Ou sera-t-elle banale
Au point d’en mourir d’ennuie
Ou à ne plus dormir la nuit
Peut- importe
Je lui ouvrirais la porte
Même si je dois souffrir
Ou même mourir
L'amour est un poison
L'amour est un poison
D'une agréable odeur
L'amour est un poison
Qui déchire mon cœur
À chaque fois que chevauche mon âme
La tendre idée d'aimer je rame
Quand vient le temps de m'ouvrir
Je ne peux m'empêcher de souffrir
Désespérément vers le large je rame
Dans l'immense lac de mon cœur en larme
L'amour est un poison
D'une agréable odeur
L'amour est un poison
Qui déchire mon cœur
Comment ce fait-il que j’ai peur
Quand le destin me dit d’aimer
Pourquoi je ne peux vivre le bonheur
Autrement que par des rêves dissipés
Pourrais-je un jour aimer tendrement
Sans me tracasser constamment
L'amour est un poison
D'une agréable odeur
L'amour est un poison
D'une agréable odeur
L'amour est un poison
Qui déchire mon cœur
À chaque fois que chevauche mon âme
La tendre idée d'aimer je rame
Quand vient le temps de m'ouvrir
Je ne peux m'empêcher de souffrir
Désespérément vers le large je rame
Dans l'immense lac de mon cœur en larme
L'amour est un poison
D'une agréable odeur
L'amour est un poison
Qui déchire mon cœur
Comment ce fait-il que j’ai peur
Quand le destin me dit d’aimer
Pourquoi je ne peux vivre le bonheur
Autrement que par des rêves dissipés
Pourrais-je un jour aimer tendrement
Sans me tracasser constamment
L'amour est un poison
D'une agréable odeur
L'amour est un poison
Qui déchire mon cœur
L'amour d'une amie
Un jour j’ai rencontré
Une femme exceptionnelle
Lorsque j’ai vu cette hirondelle
Mes yeux se sont débouchés
Elle a voulu me démontrer
Comment pouvait être
Notre belle amitié
Et je voyais ce qui ne pouvait être
Longtemps, cela m’a pris
Pour comprendre
Le fond de son esprit
Qui a encore besoin d’apprendre
Alors, je compris
Que mon amour était fini
Mais que notre amitié
Une femme exceptionnelle
Lorsque j’ai vu cette hirondelle
Mes yeux se sont débouchés
Elle a voulu me démontrer
Comment pouvait être
Notre belle amitié
Et je voyais ce qui ne pouvait être
Longtemps, cela m’a pris
Pour comprendre
Le fond de son esprit
Qui a encore besoin d’apprendre
Alors, je compris
Que mon amour était fini
Mais que notre amitié
Ne faisait que commencer
La rencontre
Je prenais le métro
Pour rentrer illico
La tête pleine d’idées
J’étais tout excité
Lorsque je remarquais
Une fille plutôt jolie
Surprise qu’elle était
Que je sois aussi poli
Je lui ai demandé
Si je pouvais la dessiner
C’est pour ma bande dessinée
Que j’expliquais
Par manque de temps
D’avoir trop parler
Tu peux me téléphoner
En tout temps
Est-ce qu’elle m’aimera
Est-ce que ça marchera
L’avenir nous le dira
Pour rentrer illico
La tête pleine d’idées
J’étais tout excité
Lorsque je remarquais
Une fille plutôt jolie
Surprise qu’elle était
Que je sois aussi poli
Je lui ai demandé
Si je pouvais la dessiner
C’est pour ma bande dessinée
Que j’expliquais
Par manque de temps
D’avoir trop parler
Tu peux me téléphoner
En tout temps
Est-ce qu’elle m’aimera
Est-ce que ça marchera
L’avenir nous le dira
Peut-être qu’elle rappellera
L'embarcadère
Dans un port de bienveillance
Un homme de confiance
Patrouillait les parages
Faisant le tour des mystérieuses cages
Les ouvrir jamais il ne devait
Plus le temps avançait
Plus impatient il devenait
De savoir ce qu'ils contenaient
Un jour il fit la malencontreuse erreur
De farfouiller les intriguant conteneurs
D'une effroyable honte et de peur
Il le cacha à son supérieur
Malheur fut alors sur lui
Car les sarcophages sacrés
Furent totalement volés
Par d'horribles bandits de nuit
Honteux il fut alors
Accusé d'injustes torts
Son patron le mit dehors
Lui qui se trouvait si fort
Il devint alors maître sans bruit
Ramenant les malotrus en cage
Retrouvant les sarcophages
Un homme de confiance
Patrouillait les parages
Faisant le tour des mystérieuses cages
Les ouvrir jamais il ne devait
Plus le temps avançait
Plus impatient il devenait
De savoir ce qu'ils contenaient
Un jour il fit la malencontreuse erreur
De farfouiller les intriguant conteneurs
D'une effroyable honte et de peur
Il le cacha à son supérieur
Malheur fut alors sur lui
Car les sarcophages sacrés
Furent totalement volés
Par d'horribles bandits de nuit
Honteux il fut alors
Accusé d'injustes torts
Son patron le mit dehors
Lui qui se trouvait si fort
Il devint alors maître sans bruit
Ramenant les malotrus en cage
Retrouvant les sarcophages
Et sa vie d'autrefois il reprit
L'homme au chapeau noir
Curieux personnage
Que j'ai vu entre deux nuages
Marchant dans le noir
Avec son grand chapeau noir
Souvent on se croisait
Jamais au même endroit
Jamais on se parlait
Marchant toujours droit
Pourquoi court-il ainsi
Avec sa belle guitare
A-t-il peur d'être en retard
Ou marche-t-il toujours ainsi
Découvrirons-nous un jour
Chacun nos secrets
Ou mystérieusement discret
Que j'ai vu entre deux nuages
Marchant dans le noir
Avec son grand chapeau noir
Souvent on se croisait
Jamais au même endroit
Jamais on se parlait
Marchant toujours droit
Pourquoi court-il ainsi
Avec sa belle guitare
A-t-il peur d'être en retard
Ou marche-t-il toujours ainsi
Découvrirons-nous un jour
Chacun nos secrets
Ou mystérieusement discret
Nous resterons toujours
Vivre pour un lendemain
Le monde va à la dérive
Vers un avenir déprimant
Je me perds dans un océan
Je ne vois plus la rive
Une étoile pointe du doigt
Le chemin de notre destiné
Par où devons-nous commencer
Mais d’abord écoutons la voix
Ces paroles pleines de sagesse
Apaiseront nos angoisses
Nous remettront su la voie
Et nous guideront comme il se doit
Mais encore faut-il les comprendre
Si nous voulons nous reprendre
Si nous voulons survivre
À notre mère nature ivre
Celle que nous détruisons
À grands coups de pollution
Celle dont nous avons besoin
Vers un avenir déprimant
Je me perds dans un océan
Je ne vois plus la rive
Une étoile pointe du doigt
Le chemin de notre destiné
Par où devons-nous commencer
Mais d’abord écoutons la voix
Ces paroles pleines de sagesse
Apaiseront nos angoisses
Nous remettront su la voie
Et nous guideront comme il se doit
Mais encore faut-il les comprendre
Si nous voulons nous reprendre
Si nous voulons survivre
À notre mère nature ivre
Celle que nous détruisons
À grands coups de pollution
Celle dont nous avons besoin
Pour qu’il existe un lendemain
Le voyageur
Le monde un voyageur survolait
Pour la paix qu'il cherchait
Paix de l'âme, paix des sens
Il cherchait la récompense
De tout les maux qu'il s'était donné
Pour un travail terminé
Il cherchait la paix et l'amour
Chose que l'on veut toujours
Chose des plus vitales
Sinon nos cœurs seraient fatals
Et nos vies des plus banales
En ce démentiel monde tribal
Épuisé de marcher sans relâche
Cessant ses infructueuses recherches
Sans pour autant être lâche
Car pour être heureux pleinement
Ce que nous avons il faut l’apprécier
Pour la paix qu'il cherchait
Paix de l'âme, paix des sens
Il cherchait la récompense
De tout les maux qu'il s'était donné
Pour un travail terminé
Il cherchait la paix et l'amour
Chose que l'on veut toujours
Chose des plus vitales
Sinon nos cœurs seraient fatals
Et nos vies des plus banales
En ce démentiel monde tribal
Épuisé de marcher sans relâche
Cessant ses infructueuses recherches
Sans pour autant être lâche
Car pour être heureux pleinement
Ce que nous avons il faut l’apprécier
Et s'amuser tout simplement
Le voleur de bonheur
Il était un pêcheur
Et hors du commun qu’il était
Car c’est de bonheur
Qu’il se nourrissait
Se goinfrer qu’il faisait
Tout en ne se souciant pas
Du malheur qu’il entraînerait
En menant les gens au trépas
En ces gens maintenant dépourvu
De tout leurs simples plaisirs
Se créait un complot mis à nu
Celui de voir ce voleur mourir
De rien ils n’eurent besoin
Pour qu’il meurt de faim
Car il fut trop glouton
Et hors du commun qu’il était
Car c’est de bonheur
Qu’il se nourrissait
Se goinfrer qu’il faisait
Tout en ne se souciant pas
Du malheur qu’il entraînerait
En menant les gens au trépas
En ces gens maintenant dépourvu
De tout leurs simples plaisirs
Se créait un complot mis à nu
Celui de voir ce voleur mourir
De rien ils n’eurent besoin
Pour qu’il meurt de faim
Car il fut trop glouton
Et vida tout ses provisions
Le prix de la paix
Tant de gens dans la mort
Nous entraînons tous les jours
Quand verrons-nous le jour
Où nous réaliserons nos torts
Les responsables de ces tueries
Ne cessent de se justifier
Nous tuons pour une paix infinie
Pour ces morts non justifiés
Tuer pour gagner la paix
Tuer pour venger les morts
Tuer pour un monde parfait
Prouve que notre conscience dort
Quand allons-nous nous réveiller
Quand arrêterons-nous ces fous
Avant que nous aussi devenions fous
Notre lucidité il faut la retrouver
Combien la paix nous coûtera-t-il
Sinon d'innombrables morts calcinés
Au nom de Dieu tuons sans merci
Nous entraînons tous les jours
Quand verrons-nous le jour
Où nous réaliserons nos torts
Les responsables de ces tueries
Ne cessent de se justifier
Nous tuons pour une paix infinie
Pour ces morts non justifiés
Tuer pour gagner la paix
Tuer pour venger les morts
Tuer pour un monde parfait
Prouve que notre conscience dort
Quand allons-nous nous réveiller
Quand arrêterons-nous ces fous
Avant que nous aussi devenions fous
Notre lucidité il faut la retrouver
Combien la paix nous coûtera-t-il
Sinon d'innombrables morts calcinés
Au nom de Dieu tuons sans merci
Pour que la paix soit préservée
L'astronaute
Un astronaute j’ai rencontré
Qui dans la lune était toujours
Reviens sur terre lui a-t-on dit
Si dans l’espace tu veux un jour
Que ton corps puisse voyager
Si merveilleuse est cet astre
Comment pourrais-je la quitté
Sans provoquer un désastre
Dans mon esprit torturé
Par son indéniable beauté
En deux il était déchiré
Corps et esprit dissocié
Il ne savait que faire
Ni comment se défaire
De cette impasse démesurée
Son corps on a transporté
Sur la lune pour le sauvé
Corps et âme ont fusionné
Son malheur fut terminé
Qui dans la lune était toujours
Reviens sur terre lui a-t-on dit
Si dans l’espace tu veux un jour
Que ton corps puisse voyager
Si merveilleuse est cet astre
Comment pourrais-je la quitté
Sans provoquer un désastre
Dans mon esprit torturé
Par son indéniable beauté
En deux il était déchiré
Corps et esprit dissocié
Il ne savait que faire
Ni comment se défaire
De cette impasse démesurée
Son corps on a transporté
Sur la lune pour le sauvé
Corps et âme ont fusionné
Son malheur fut terminé
Et son bonheur pu subsister
La déchéance
En colère le ciel était
Embrumé ma tête était
Par de sombres nuages
Qui étaient dans les parages
La déchéance du monde nouveau
Fait couler en moi d’énormes flots
Flots qui m’emportent vers le large
Loin devant mon cœur en cage
Comment refaire surface
Survivre à tant de souffrance
Ce châtiment est notre punition
Contre toute cette pollution
Je rêve du jour promis
Où tous nos actes commis
Nous seront pardonnés
Embrumé ma tête était
Par de sombres nuages
Qui étaient dans les parages
La déchéance du monde nouveau
Fait couler en moi d’énormes flots
Flots qui m’emportent vers le large
Loin devant mon cœur en cage
Comment refaire surface
Survivre à tant de souffrance
Ce châtiment est notre punition
Contre toute cette pollution
Je rêve du jour promis
Où tous nos actes commis
Nous seront pardonnés
Où nous vivrons pour l'éternité
Enfer paradisiaque
Si d’une logique le paradis existe
Par équation un enfer subsiste
Quel est notre étrange univers
Qu’est notre planète à l’envers
Serait-il un compromis séduisant
Serait-il un mélange parfait
Est-ce pour cela que l’on fait
Autant de caprices déroutants
Si notre vie était l’idéal de nos rêve
Jamais il n’y aurait de trêves
Jamais nous ne pourrions l’apprécier
Autant qu’elle puisse le mériter
En résumé pourquoi se plaindre
Car la lumière divine ne peut s’éteindre
Seul notre volonté peut nous la masquer
Par équation un enfer subsiste
Quel est notre étrange univers
Qu’est notre planète à l’envers
Serait-il un compromis séduisant
Serait-il un mélange parfait
Est-ce pour cela que l’on fait
Autant de caprices déroutants
Si notre vie était l’idéal de nos rêve
Jamais il n’y aurait de trêves
Jamais nous ne pourrions l’apprécier
Autant qu’elle puisse le mériter
En résumé pourquoi se plaindre
Car la lumière divine ne peut s’éteindre
Seul notre volonté peut nous la masquer
Notre vie nous pouvons la contrôler
Déchéance moderne
Dans un beau pays nous vivons
De nombreuses taxes nous payons
Des flots d’argent nous dépensons
Sans combler les besoins que nous avons
Jusqu’où irons nous sans tomber
Quand cette déchéance finira-t-elle
Quand pourrons nous profiter
De notre bonheur éternel
Riches et pauvres nous devons
Combattre ces gens vaniteux
Ouvrons nous enfin les yeux
Pour les détrôner à l’unisson
Peut-être un jour ce moment viendra
Peut-être heureux nous serons enfin
J’espère que ce jour viendra
De nombreuses taxes nous payons
Des flots d’argent nous dépensons
Sans combler les besoins que nous avons
Jusqu’où irons nous sans tomber
Quand cette déchéance finira-t-elle
Quand pourrons nous profiter
De notre bonheur éternel
Riches et pauvres nous devons
Combattre ces gens vaniteux
Ouvrons nous enfin les yeux
Pour les détrôner à l’unisson
Peut-être un jour ce moment viendra
Peut-être heureux nous serons enfin
J’espère que ce jour viendra
Car sinon ce sera notre fin
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